Même si les solutions actuellement explorées sont critiquables, le
concept de cartable électronique a du sens :
- Comment prévenir le mal de dos dès l'enfance ?
- Comment remplacer rapidement des données et applications éducatives ?
- Comment gérer le temps de travail des élèves ?
- Comment enseigner n'importe où et n'importe quand ?
Je vous laisse trouver des réponses à cette expression des besoins : pas
besoin d'URL absconses pour ça ...
Aimé Vareille
Nicolas Rougnon-Glasson wrote:
> [coup de gueule]
>
> M$ ou logiciel libre, le problème est ailleurs.
>
> Le cartable électronique ...
> - Est très honéreux, compte tenu du prix et de la faible durée de vie
> d'un portable (surtout manipulé par un collégien).
> - Est hors de prix, sinon irréalisable, si l'on considère qu'il faut
> former tous les enseignants en poste à ces techniques.
> - Ne répond a aucun besoin exprimé. Pour s'en convaincre, il suffit de
> se référer aux études commandées par l'éducation nationale
> (http://www.educnet.education.fr/plan/cartel.htm)
> - Est dangereux pour l'éducation de nos chers bambins. Les collégiens
> ne vont pas apprendre à réfléchir en faisant joujou avec leur portable.
>
> Jusque là, pas de raison de s'affoler, le projet est mort-né, il
> n'aura coûté que quelques millions ou dizaines de millions d'euros
> d'études abracadabrantes.
>
> D'autre part, le cartable électronique ...
> - Bénéficie d'un financement public.
> - Intéresse des acteurs privés (fournisseurs de matériel informatique,
> de logiciel, prestataires de services,...).
> - Est décidé par des acteurs politiques.
>
> Ouille ouille ouille, ça se complique. Finalement, on va p't'être le
> faire quand même, ce cartable électronique. Y a p't'être quand même un
> intérêt. Et pis si y en a pas, au moins, on l'aura vérifié.
>
> Je ne dis pas que certains hommes politiques et/ou dirigeants
> d'entreprises et/ou fonctionnaires de l'éducation nationale se
> remplissent les fontes d'argent public grâce au cartable électronique.
> Je dis seulement que la naïveté des premiers, l'opportunisme des
> seconds et l'incompétence des troisièmes ne suffisent pas, à mon avis,
> à justifier cette gabegie.
>
> A+
> N.
>
> [ça fait du bien]
>
>
