Bonjour
samuel veyre a écrit :
En cas de disfonctionnement du logiciel par la suite,
> la garantie saute et on ne peut plus se prévaloir du service
> aprés-vente.
Normal, c'est bien une des différences entre un code ouvert d'un éditeur
et un logiciel libre supporté par une communauté.
Du coup, le modèle "source fermé" a l'avantage de porter
> toute la responsabilité du disfonctionnement sur le fournisseur.
Ces deux choses n'ont aucun rapport. On peut offrir un service de
garantie sur un logiciel libre (ex RedHat) et on peut n'offrir aucune
garantie sur un logiciel propriétaire (ex Internet Explorer)
>
> Donc ma question est : Comment concilier liberté de programmation et
> garantie de fonctionnement de la source de base ? Peut-on être à la fois
> acteur et consommateur ?
On distingue les éditeurs, les fondations et les communautés, mais en
dernier ressort l'organisation d'un support de garantie se fait à peu
près de la même façon, que ce soit du libre ou pas.
>
> Merci de vos impressions. J'aime bien me faire l'avocat du diable et
> essayer de pousser le concept de "open source" dans ses retranchements
> ... surtout pour l'aspect économique du logiciel libre.
Ton commercial mélange un peu tout. Ce n'est pas l'aspect économique qui
est en cause dans ce cas mais l'aspect contractuel, à la fois de la
licence et des contrats de services qui l'accompagnent.
>
> Samuel
Voilà quelques réactions spontanées à chaud
- --
Dominique Chabord
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