Le Mercredi 18 Janvier 2006 16:46, Patrice Karatchentzeff a écrit :
> Mouais. Cela me rappelle le temps où je fais du circuit...
>
> Dans un circuit, on avait une masse par bloc analogique (sont très
> chatouilleux les analogiciens sur les masses...) et souvent deux ou
> trois autres pour le reste (donc le numérique). Au bas mot, pour un
> SOC (un « system on chip »), on avait au minimum entre trois et six
> masses disctinctes.
>
> Un jour que je me balade dans le labo de test, je m'aperçois que les
> testeurs ne s'emmerdaient pas : toutes les masses du circuit étaient
> reliées entre elle, à la terre... et le circuit marchait farpaitement
>
> :)
>
> Alors, les masses non court-cicuitées, j'y crois mollement maintenant :)
L'avantage de séparer les masses, c'est que tu peux ensuite faire comme
veux, pendant la phase de test. Il peut y avoir des cas où il faut les
isoler, d'autres non.
Ceci-dit, la gestion des masses et des blindages et *très* complexe. Même
s'il y a des règles élémentaires, cela relève surtout d'un grand
savoir-faire ; des notions de maître guru sont également un plus dans le
domaine ;o)
Pour info, il y a une collection de livres sympa sur le sujet, chez Dunod :
4 volumes, quand même !
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Frédéric
http://www.gbiloba.org