> > Rien à voir !! le numéris c'est deux canaux à 64k numérique synchrone !
> > Donc si la comm s'établie, on à droit à une bande passante synchrone de
> > 64K. La qualité de la ligne n'entre pas en ligne de compte, car si la
> > qualité de la ligne est mauvaise, pas de comm du tout !
Si.
Simplement, France telecom s'engage a un taux d'erreur inferieur a 10^ -9
> Dites-moi si je me trompe, mais lorsqu'on utilise le RTC, a 56k par
> exemple, Si la lisaison est mauvaise (c'est de l'analogique, donc soumis a
> tous les problemes de perturbations habituels), le modem va re-emettre les
> trames qu'il n'a pas compris (il y a des detections d'erreurs). Du coup,
> la liaison reelle se fera peut-etre a 30k.
Tout a fait.
A la nuance près que actuellement sur le réseau français, toutes les lignes sont
numériques, à l'exception de la terminaison d'abonné.
Donc les lignes RTC françaises sont excellentes. (je n'ai pas d'actions FT !)
> Alors que ces problemes en numerique (numeris) sont bien moindre, voir
> inexistants. Donc les 2x64k sont exploites a fond.
Attention, je le rétète : 2x64k = double prix mais vitesse moyenne <128k.
Donc globalement le ratio prix/débit est supérieur.
> L'écart de vitesse réelle en RTC et numeris est donc supérieur a ce qu'on
> pense. Heureusement, vu le prix...
Un autre avantage du RNIS : le temps de connexion (~ 2 sec). Comparé au RTC
(~30 sec), c'est non négligeable si on a une passerelle qui déconnecte et
reconnecte en fonction du trafic IP : économies !
Autre précision, les débits annoncés avec le RTC tiennent toujours compte de la
compression logicielle qu'effectue le modem (V42bis par exemple) ce qui donne
un 56kbits. Alors que le RNIS offre un débit brut de 64kBit. Compressé, on
peut obtenir du 256kbits/canal. Je ne sais pas s'il existe des protocoles qui
gèrent ça pour le RNIS.
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