CHRISTALLER Michel ATHESA writes:
>
> Et je le répète sans argent ces logiciels n'iront pas loin. Combien
> sommes-nous à pouvoir développer bénévolement ? combien serions-nous si
> une partie du travail était rémunérée, tout en restant "copyleft" ?
On peut aller tres loin "sans argent". Il suffit de voir le chemin
parcouru depuis la creation de la FSF (free software foundation).
Le logiciel libres a beneficie un atout formidable: internet. C'est
lui qui permet la collaboration des developperus dans divers coins du
monde. C'est lui qui permet la diseminations des informations et enfin
la distribution des produit. On n'a pas besoin ni de budjet
publiciataire, ni de reseaux de revendeurs agrees, ni des accord
commerciaux.
Les developpeurs sont peu nombreux ? Si on divise leur nombre avec le
nombre de tous les informatiens et amateurs informatique dans le monde
entier, ce n'est en effect qu'une infime fraction. Mais c'est encore
suffisant pour produire un tel plethore de logiciels. Il faut aussi
distinguer ceux qui creent de veritables codes (peu nombreux mais
indispensables) et ceux qui font de "l'emballage" (transformer le code
source en um package .rpm, par ex.)
Je ne pretend pas que le logiciel comercial doit ceder la place au
logiciel libre. Les 2 peuvent tres bien coexister. Mais je pense que
les logiciels d'interet general doivent etre libres.
Mais l'argent a aussi un tres grand pouvoir. il permet de manipuler
l'opinion publique, de rependre des deinformations" voire des contre-
verrites. C'est l'arme le plus redoutable. Je pense qu'une maniere de
contribuer au developement de logiciel libre (sans contribuer au code)
est justement de combattre l'action de ceux qui veut repandre le FUD
(fear uncertainty and doubt).
> Pour cela, la première étape, probablement la plus difficile, est de
> NOUS départir de nos préjugés, d'accepter
> que de l'argent soit fait sur un logiciel libre... c'est la condition de
> sa survie.
Les compagnies redhat, suse, ... gagnent de l'argent sur le logiciel
libre et en meme temps ont rendu un grand service au logiciel
libre en renforcant son image de marge et sa popularite.
> La seconde étape, à mon sens, c'est une fondation qui collecte de
> l'argent et le reverse aux développeurs. Cela existe-t'il déjà ? Je ne
> sais pas, mais j'aimerais bien verser 100f pour Torvalds, Stallman, et
Et bien le FSF existe de puis toujours. Une maniere de le souternir
est d'acheter des produit libre sponsorise par le FSF a un prix de
soutient (quelques centaines de francs probablement)
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PHAM Dinh Tuan | e-mail: Dinh-Tuan.Pham@???
Laboratoire de Modelisation et Calcul | Tel: +33 4 76 51 44 23
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