Le 23/03/2018, Jerome a écrit :
> Le capteur que j'utilise a une flux d'air forcé (ventilo).
> L'idee initiale était d'avoir une chambre à turbulence en amont et que
> le capteur aspire la dedans avec le debit qui lui importait.
>
> Ca marche mais cela lag: 10 à 30 secondes de retard (à la louche), donc
> inexploitable pour des données géolocalisée.
Si le retard est fixe, c'est pas compliqué de re-caler la position GPS.
De plus, les perturbations dues à la proximité d'un véhicule, vont
perturber las mesure. Il faudrait rester de longues minutes à chaque
position. Et à différents moments de la journée.
Ça, ça pourrait être un projet à grand échelle : si des habitants mettent
ce genre de capteur à leur fenêtre, en maillant bien la ville, on aurait
une cartographie des endroits à éviter en vélo ! Ou en jogging...
D'ailleurs, si tu veux savoir la quantité de saloperie que tu respires en
vélo, tu peux te mettre un filtre sur la bouche, et faire analyser ça dans
un labo spécialisé : là, tu auras une info super précise ;o)
> J'ai réduit le volume de cette chambre, cela lag moins (quelques
> secondes sans que je l'ai mesuré précisement). Si le retard et la
> courbe de réponse temportelle est "constante", il devrait être possible
> de déconvoluer le signal temporel sans trop de problème.
Mais es-tu sûr que tes déplacement ne perturbent pas le flux ? Ça me
semble vraiment super délicat à faire... Surtout avec les courants d'air
qu'il peut y avoir dans les rues. Une rafale, et paf le chien :o/ Quand je
vois la difficulté qu'a eu le gars qui a fait les mesures d'infiltrométrie
chez moi, pour calibrer ses instruments, justement à cause du vent...
> Ceux que j'ai acheté, des sds021 sont un peu plus précis que les
> sds011... http://aqicn.org/sensor/sds021/fr/
>
> Il te sort les valeurs PM2.5 (µm) et PM10 (mutipliées par 10) dans un
> datagramme de 10 octets en uint16 (avec checksum) directement en µg/m³.
>
> Il y a un datagramme par seconde.
Merci, je vais regarder ça. Je voudrais en mettre un chez moi.
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Frédéric