Bonsoir,
Michel Roche a écrit :
>
> Le 8 oct. 09 à 18:35, Olivier Allard-Jacquin a écrit :
>
>> Bon, déjà, utiliser le parcours de l'arborescence pour trouver un
>> partage réseau, c'est un peu faiblard. Depuis une command-prompt
>> Windows, lance :
>>
>> explorer \\nom_serveur\nom_partage
>
> Bien d'accord avec toi : je me trouve bien faiblard là, mais bon avec
> Windows je ne sais faire qu'à la windows :-)))
> Mais avec la commande je me sentirai mieux en effet !
>
> Je prends note de tes remarques sur le serveur windows : j'y retourne
> lundi prochain, je regarderai tout bien comment il est fait.
> La seule chose que j'aie touché dessus, et ça remonte un peu d'ailleurs,
> c'est d'y avoir ajouté un utilisateur pour accéder aux partages de
> fichier qu'il sert, dont celui qui m'intéresse pour faire tourner le
> soft de gestion du fonds médiathèque.
> Pour ça j'étais allé dans la gestion du système, utilisateurs et placé
> l'utilisateur ajouté dans le bon groupe pour accéder au partage...
> Après, je ne pense pas que le serveur contrôle le domaine, c'est tout de
> même pas si abouti leur config...
>
> Y'a-t-il un moyen de supprimer tous les caches de connnexion, les
> login-mot de passe samba, tout ça quoi sur windows ?
Oui. La commande :
net use * /delete
permet de supprimer la connaissance des login/mdp utilisé lors de la
sessions. Mais parfois l'explorer.exe bug un peu, et ne prends pas cette
information en compte. Il faut alors tuer le process explorer.exe, et en
relancer un (le tout via le task manager). Mais attention, tu perds en
même temps la barre des taches en bas, donc il s'agit d'utiliser la
commande "run" du task manager. Mais parfois, c'est le Windows complet
qui refuse de purger toutes les connexions. Dans ce cas, il faut le
rebooter.
Note que la commande "net use * /delete" ne marche que sur les
login/mdp stockés en mémoire. L'utilisateur peut demander à sauver sur
le disque dur les login/mdp de connexion, afin de ne pas à avoir à les
taper tout le temps. Cette info est stockée dans la base de registre, et
il faut la purger à la main.
Navrés pour l'excursion dans le non-libre... ;)
> De façon à être certain de repartir au clair avec mon windows virtualisé
> (je sais j'ai été bête je n'en ai pas fait de copie avant de bidouiller,
> et la perspective de l'heure d'install et des trois redémarrages, et des
> 20 lettres de la clef ne m'enchante guère : c'est un truc abominable
> d'avoir à installer windows quand t'as un peu pris l'habitude du GNU !)
Ahhh, le retour au logiciel libre :
Dans le cas de la virtualisation VirtualBox, il y a 2 choses que l'on
peut faire :
- sauver le .vdi (qui represente l'OS virtualisé) ailleurs sur le disque
dur, afin de pouvoir revenir sur un OS "propre" après des bidouilles.
- OU, utiliser le mécanisme de "snapshot" de virtualbox. En gros, à
partir de l'instant T, aucune modification n'est plus apportée au .vdi.
Tout est stocké dans un fichier du
"~/.VirtalBox/Machines/Machine/Snapshots" qui est une sorte
"d'extension" du .vdi. Cela va sans doute produire des perfs disque pas
terribles. Mais cela a l'avantage de pouvoir "revenir en arrière", par
simple suppression du "snapshot". Par contre, je ne sais pas "fusionner"
à postériori le snapshot avec le .vdi.
Cordialement,
Olivier
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Phoenix / _ \/ _ \ Olivier Allard-Jacquin
/ / \ / \ \ Web: http://olivieraj.free.fr/
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