InstallSurOrdinosaures

Constat

• Des ordinateurs d'occasion sont abandonnés alors qu'ils pourraient servir pour d'autres personnes pour un usage basique. Puisqu'un dessin vaut mieux qu'un long discours : http://en.tiraecol.net

• L'installation de Linux parait trop complexe pour les néophytes qui ne se sentent pas confiants pour le faire seul. Une installation sous le parrainage d'un linuxien expérimenté pourrait démystifier ce scepticisme. Face au fossé culturel entre le néophyte et le geek, les first-jeudi peuvent permettre de faire se rencontrer l’enthousiasme des "neuneus" et faire sortir de leur grotte les vieux sages ... sans avoir à organiser une "vraie" install party, sans avoir a connaître quelqu'un qui s'y connaît, spontanéité et improvisation de rigueur.

Objectif

• Pendant les FirstJeudi, installer une distribution Gnu/Linux en "live" sur des ordinateurs d'occasion récupérés gratuitement. Et donner le pc ainsi ressuscité et "libéré" a la première personne qui adhérera pendant le FirstJeudi (ou sous forme de tombola à la fin de la soirée ?)

Trouver des machines d'occasion gratuites ?

• Les sites web de don

Freecycle.org (liste de discussion locale), http://recupe.net (forum sans inscription), ...

• Partenariat avec La Brocante de Mamie qui peut également permettre d'apprendre à un néophyte la

retro-ingenierie hardware basique Les ordinateurs qu'ils retapent sont normalement mis en vente dans leur magasin pour environ 100 Euros mais on peut leur proposer du troc de pièces détachés.

• Achats d'occasion

http://grenoble.vivastreet.fr/informatique-pda+grenoble

Obstacles potentielles

• Veille pour récupérer des ordinateurs

Stockage possible dans ma cave

• Difficultés techniques

Les installations risquent de poser des soucis techniques sur du vieux matériel et des distributions spéciales s'avèrent peut-être nécessaires ( | http://fluxbuntu, http://www.damnsmalllinux.org/, http://moulinier.net/,... monter le matos et tester avant et n'avoir à faire que l'install sur place.

• Encombrement du bar

Le bistrot risque de se transformer en atelier "hotline" de réparation...